Dernier exemple qui montrera combien ce sujet est tabou et ne doit être abordé qu’avec des « pincettes ». Un médecin de mes connaissances, fervent napoléonien, qui exerçait dans une station balnéaire réputée, avait eu le mauvais goût d’écrire, pour un quotidien local, un article dans lequel il faisait part de sa conviction du bien-fondé de la thèse de l’empoisonnement. Que n’avait-il pas fait !
Un jour qu’il se trouvait à la poste, il fut violemment pris à partie devant un public médusé par un quidam qui lui reprocha avec véhémence d’avoir écrit cet article. Le quidam en question était un membre éminent du « Souvenir Napoléon ». (C’est à dessein que je n’ai pas donné les noms que je connais évidemment). Commentaire superflu. Au lieu de cracher leur mépris, ces praticiens, qui sont habitués à lire, à interpréter et à comprendre des résultats d’analyses, ont simplement eu l’intelligence d’en prendre connaissance. Et de se faire une opinion par eux-mêmes, sans en référer à la Fondation.
En revanche, le grand public, lui, était infiniment plus difficile à atteindre, car, du fait de la mainmise dictatoriale de la Fondation Napoléon (médias mainstream sont leur domaine réservé), il n’a été nourri qu’au biberon frelaté de M. Lentz et de ses affidés, et n’a pas eu accès aux vrais résultats. Donc, là, la manœuvre tordue de l’adversaire a beaucoup mieux fonctionné.
Mécanique de destruction
Classique, la technique de destruction par « ridiculisation » via les médias mainstream est élémentaire, mais très au point. Et efficace.
On a commencé par présenter l’acteur principal, Ben Weider, comme un guignol, amateur de « serpents de mer » (Jean Tulard dans le Figaro), « d’intrigues politico-romanesques », une sorte de bellâtre ridicule aux « cheveux gominés », un charlatan qui met sur le marché des « compléments alimentaires censés retarder le vieillissement ». Cette vilenie est sortie de la plume d’un journaliste de « L’Express », Gwendal Audran, dans un numéro déjà ancien du magazine. Du même personnage : « En 1998, la Fondation Ben Weider verse 1 250 000 dollars à l’université de Floride. La chaire d’histoire de la Révolution française et de l’Empire, conduite par le professeur Donald Howard devient la «Ben Weider Eminent Scholar Chair in Napoleonic History».
Tous les mécènes donnent leur nom à la fondation qu’ils permettent de créer en la finançant. Pourquoi faudrait-il dénier ce droit précisément à celui-ci ? Et voici le coup de pied de l’âne : « Une générosité qui explique peut-être l’appui de Howard à la thèse de l’empoisonnement ».
Phrase vicieuse, qui sous-entend tout simplement que le Québécois a acheté, à coups de millions de dollars, l’intégrité d’un professeur d’université américain afin que celui-ci lui apporte sa caution d’historien ! Cette hypothèse, on s’en serait douté, parut tout à fait plausible à M. Jean Tulard, comme le démontre cette citation : « Jean Tulard, spécialiste français de la période s’en amuse [!!] : “Je ne jette pas la pierre à mon collègue, le Pr Ho[r]ward [. Je serais très heureux de bénéficier de tels moyens [et les millions de la Fondation ?] Il reste que je ne peux en tant qu’historien sérieux soutenir cette thèse que l’autopsie de la dépouille infirme”. »
Biographie de Ben Weider (1er février 1923-17 octobre 2008) : Homme d’affaire de nationalité canadienne. Il a servi dans les Forces armées canadiennes lors de la Seconde Guerre mondiale. En 1945, Ben Weider et son frère Joe dirigent respectivement au Canada et aux États-Unis la compagnie d’équipement Weider et la Weider Health & Fitness, deux entreprises qui fabriquent et vendent leurs propres produits sportifs à travers le monde. En 1946, il fonde et préside également l’IFBB (International Federation of Body Builders). Auteur d’ouvrages sur l’Histoire napoléonienne, il fonde la Société Napoléonienne internationale qui regroupe des historiens de plus de 100 pays. En 2008, quelques mois avant son décès, il cède sa collection d’œuvres et effets personnels liés à l’Empereur Napoléon Ier au Musée des beaux-arts de Montréal. Cette collection comprend notamment le bicorne porté durant la campagne de Russie de 1812.
Pourront–ils tomber encore plus bas ?
Cette fois, dans les pages de « Géo », sans doute faute de place, on compte un peu moins de sarcasmes stupides qu’à l’accoutumée sur les « empoisonnistes » ce barbarisme parle par lui-même sur la « poudre de perlimpinpin », qui désigne l’arsenic, et sur la thèse qui « repose sur du vent » : on a pu entendre récemment cette forte parole dans l’émission du média russe RT France, « Enfin de vrais débats », de Dominique Taddeï. Pour l’anecdote, notons que celui-ci est l’inventeur d’un concept original, celui du débat à interlocuteur unique : ainsi, l’invité, Thierry Lentz, était seul pour répondre aux questions obséquieuses de l’animateur qui l’interrogeait (sic) sur ces « théories souvent farfelues »… Et voilà que les quelques millions d’abonnés à « RT France », endoctrinés et abusés. Efficace et sans danger.
L’arsenic comme remontant
Autre grand classique par lequel l’adversaire ambitionnait de porter un coup fatal à la thèse de Weider : il n’y a rien de mystérieux, encore moins de criminel, dans la présence du toxique dans les cheveux de l’Empereur : « Au XIXe siècle, il était d’usage de s’offrir des boucles de cheveux, rappelle Thierry Lentz. Des analyses ont donc pu être effectuées SUR des mèches de cheveux de Napoléon à plusieurs âges de sa vie, ainsi que des cheveux de sa mère, ses sœurs, son fils. Toutes révèlent des doses d’arsenic semblables ».
Clap, clap, clap ! Élémentaire. Lumineux.
Il faut vraiment avoir l’esprit tordu d’un « conspirationiste » pour voir, dans la présence de ce toxique « DANS » (j’insiste sur ce mot, car Thierry Lentz dit toujours : « SUR ») les cheveux de l’Empereur, autre chose que la survivance dans le temps d’une pieuse et charmante coutume. Le « cher Thierry », que certains, sur facebook, imaginent en « hussard » (je dois avoir la vue qui baisse, car je ne vois rien d’approchant), invoque les cheveux de la mère de l’Empereur, ceux de ses sœurs, et de son fils pour accréditer la normalité de la présence du toxique dans ceux de l’Empereur.
Sur ce diagramme obtenu par imagerie Nano-SIMS, les professeurs Pascal Kintz et Rober Wennig ont certifié que la médulla, c’est-à-dire le cœur du cheveu, contient du toxique, de l’arsenic en l’occurrence et que seule une ingestion par voie digestive peut « justifier » cette présence.
Science & Vie rate son coup
Il est exact qu’il était d’usage courant à l’époque de conserver des cheveux dans l’arsenic qui se déposait évidemment en surface et de les offrir en souvenir. Mais il est une donnée que, fidèle à sa stratégie sournoise de négation de la vérité, le « hussard » se garde bien de préciser : pour les débarrasser de toute trace d’arsenic « SUR », les cheveux de Napoléon avaient été soigneusement « lavés » avant analyse, non pas avec un shampoing de supermarché, mais avec une solution chimique utilisée en toxicologie « judiciaire ».
Quant à l’exploration en profondeur, elle se déroula, en 2003, dans les locaux du laboratoire de l’université du grand-duché, sous la direction du professeur Robert Wennig, déjà nommé, à l’aide du Nano-SIMS, une machine dont il n’existe que 50 exemplaires dans le monde (12 à l’époque considérée). Qu’avait donc révélé cette exploration d’un genre particulier qui pulvérisa l’hypothèse de la contamination externe par des produits de conservation, avancée par le magazine de vulgarisation scientifique Science & Vie, à la suite des analyses réalisées, pour son compte en 2002, par le laboratoire de la Préfecture de Police ?
Le coup fut rude, car le magazine s’était copieusement gaussé des empoisonnistes, renvoyés « dans les cordes ». Évidemment, notre hussard se garda bien de mentionner que l’examen démontra la présence de l’arsenic au cœur même des cheveux de l’Empereur, ce qui impliquait, souligna le docteur Pascal Kintz, « un passage obligatoire par la circulation sanguine », donc, par la voie digestive. Alors que les images de l’intérieur des cheveux de Napoléon montrent nettement la présence du toxique, cela ne retient pas le directeur de la Fondation d’affirmer que « les empoisonnistes n’ont jamais démontré si l’arsenic étaient dans ou sur les cheveux de Napoléon. »
Le coup de grâce fut donné en juin 2005. Devant un parterre de hauts responsables de la Justice, de la Police et de la Gendarmerie réunis dans le laboratoire ChemTox à Illkirch, dont c’était l’inauguration, Pascal Kintz révéla la nature du toxique présent dans les cheveux de l’Empereur : de… la mort-aux-rats !
En effet, ces rongeurs voraces infestaient Longwood, qui n’avait alors rien à voir avec le cottage pimpant que l’on exhibe aux touristes d’aujourd’hui, qui repartent certainement émus de la magnanimité du gouvernement anglais d’avoir si bien logé le personnage qui est censé avoir saigné la France à blanc, et ravagé une Europe bien paisible et pacifique.
La nouvelle fit grand bruit, qui se répandit dans le monde entier comme une traînée de poudre : l’homme le plus célèbre de l’Histoire du monde empoisonné sournoisement comme un vulgaire rongeur ! Comme à chaque fois que les empoisonnistes marquaient des points, la réaction ne tardait pas. Celle qui suivit, l’année d’après, les révélations du professeur Pascal Kintz se présenta sous la forme d’une étude publiée dans la revue scientifique Nature Clinical Practice Gastroenterology and Hepatology, qui établissait en substance que Napoléon était (évidemment) décédé d’un cancer de l’estomac. Point important à souligner : les analyses en question avaient été réalisées sur proposition d’un médecin, le docteur Lemaire, membre du Souvenir Napoléonien, et adversaire acharné de la thèse de l’empoisonnement.
Dans cette « étude », on pouvait lire que les théories « fantaisistes » d’un empoisonnement de Napoléon à l’arsenic étaient (citation) « maintenant largement discréditées ». À signaler : à aucun endroit de cette « étude », les travaux du Pr. Wennig et du Dr Pascal Kintz ne faisaient l’objet de la plus petite mention.
Théorie loufoque
Ces messieurs de la rue Geoffroy-Saint-Hilaire, siège de la Fondation, seule détentrice de LA parole sacrée, font passer les « empoisonnistes » pour des rigolos, des « charlots », accrochés à leurs théories « loufoques » (François Malye dans Le Point), qui ne sont que « du vent » (le hussard, sur « RT France »).
Un autre, du Figaro, s’appuyant sur le mince chef-d’œuvre censé jeter bas et porter le coup de grâce à la loufoquerie empoisonniste (« La Mort de Napoléon, Mythes, Légendes et Mystères »de MM Lentz et Macé), écrivit ceci : « Les auteurs ne concluent pas à un assassinat mais plutôt à une intoxication. Par exemple à la liqueur de Fowler, qui contient de l’arsenic, et qui était utilisée à l’époque comme remontant. » (Fin de citation).
Un remontant à base de mort-aux rats ! Quelle santé, le déporté de Sainte-Hélène ! On tenta même de faire croire au grand public (dépêche de l’Agence France Presse, citant d’autres « chercheurs » suisses) que l’arsenic présent dans les cheveux de Napoléon s’expliquait par la « coutume des vignerons de l’époque de nettoyer leurs tonneaux et leurs cuves avec de l’arsenic » – donc, de la mort-aux-rats – et les mêmes appuyaient leurs certitudes sur le fait que Napoléon était un grand amateur de vin !
Napoléon, grand amateur de vin ! Une absurdité que ne manqueront pas de relever tous ceux qui connaissent bien les habitudes « gastronomiques » (?) de l’Empereur ! Quant à nettoyer des tonneaux faits de bois poreux avec un poison mortel…
Bien qu’il me parût « bouffon » – c’est à se demander comment on peut oser transmettre une information (sic) aussi débile à une grande agence de presse, et comment celle-ci peut la recevoir et la relayer sans ciller, mais nos adversaires osent tout – je m’informai auprès de professionnels réputés sur la manière dont les vignerons de l’époque de Napoléon nettoyaient leurs tonneaux. Leur réponse – elle date du 23 janvier 2007 – fut limpide et simple, trop sans doute pour qu’il vînt à l’esprit de nos amis de vérifier par eux-mêmes. Je la transcris ci-dessous mot pour mot : « Avec de l’eau claire tout simplement et de lourdes chaînes pour racler les parois internes. Ce travail étant fait manuellement, cela nécessitait et nécessite encore de gros efforts et de beaux biscotos (sic). Aujourd’hui, le jet de sable à haute pression avec de l’eau existe mais tous ne l’utilisent pas. »
Un autre membre de la Fondation est même allé jusqu’à affirmer que la présence d’arsenic dans les cheveux de Napoléon provenait de l’eau de la baignoire l’Empereur y restait parfois des heures qui se chargeait du toxique exhalé par le métal de la cuve au contact de l’eau, et passait dans le sang, puis dans les cheveux par… capillarité !
Dans la même veine, il me souvient ainsi d’une réponse apportée par feu André Castelot au responsable de l’émission de France Inter, « 2000 Ans d’Histoire », Patrice Gélinet, qui lui demandait ce qu’il pensait de la thèse de l’empoisonnement. Cela se passait le 14 juin 2000, soit, comme par hasard, un peu plus d’un mois après la présentation, au Sénat des résultats des premières analyses, celles du FBI. Simple coïncidence, il va de soi. Comme on peut aisément s’en douter, André Castelot avait répondu que, bien évidemment, il n’y croyait « absolument pas », et pour asseoir son propos, il avait produit un argument d’une telle portée scientifique qu’il serait présomptueux de notre part de le discuter ici : « L’arsenic, il y en partout ! Il y en a même, cher ami, dans cette table qui nous sépare ». Kintz et Wennig peuvent « aller se rhabiller » !
Le roi des poisons
Il convient de préciser de quoi il est question. D’arsenic, le « vrai », pas celui qui se trouve, entre autres, dans les crustacés, « l’organique », qui est éliminé par les fonctions naturelles. Non, il s’agit du « roi des poisons, le poison des rois ». Nous parlons, ici, d’une variété du poison connue sous le nom de « mort-aux-rats ».
Historiquement « Arsenic » : L’arsenic a joué un rôle majeur dans l’Histoire. Depuis l’Antiquité, il est le poison idéal pour assassiner car quasi indétectable. Ses avantages : simple à produire, bon marché et facile à obtenir puisqu’il est utilisé pour éliminer les rongeurs et autres nuisibles. De plus, il pouvait être ajouté à la nourriture comme du sucre sans altérer l’odeur ni la couleur. L’impératrice Agrippine et de nombreuses femmes fatales ont utilisé l’arsenic pour assassiner des hommes de pouvoir. Selon certaines sources, l’empereur Claude en a été victime, ainsi que le pape Alexandre VI entre autres. Et puis, au XIXe siècle, il y a Mary Ann Cotton la tueuse en série, adepte de l’arsenic, qui a au moins 20 personnes à son palmarès. (par ailleurs : L’affaire des poisons : psychose à la cour de Louis XIV par le National Geographic).
Sans préjudice des propos offensants tenus contre « le Canadien », des conneries, je n’ai pas trouvé de vocable plus adapté de ce diamètre, je pourrais en citer des dizaines. Et ce sont les « empoisonnistes » que ces gens font passer pour des affabulateurs débiles en mal de publicité !
Devant tant d’écœurante bassesse, je ne parviens pas à m’amuser de leurs propos, grotesques à force d’être malveillants et pathétiques. On conçoit aisément que, face à des scientifiques et experts judiciaires de la trempe de Kintz et Wennig, devant le risque élevé de passer, lui aussi, pour un « charlot », le directeur de la Fondation Napoléon, n’a pas eu d’autre option que de faire régner par tous les moyens, même les plus bas une longue habitude chez lui une implacable loi du silence. Elle est scrupuleusement respectée par la presse française. Pas question donc de mentionner ces résultats obtenus par les deux scientifiques sinon, les images existant (consultables sur le blog du « Carré »), les fumisteries de M. Lentz auraient pris un sérieux coup sous la ligne de flottaison. Il n’en a d’ailleurs jamais fait état. Brièvement exprimé, ces résultats n’existaient pas.
La déontologie historique ? Ce n’est pas le genre de la maison. Puisque je viens d’évoquer le NanoSIMS, puis-je suggérer à l’auteur(e), si elle en a l’occasion, d’aller regarder de près cette machine qui alimente la « théorie [qui] continue d’agiter les « conspirationistes » ? Peut-être même pourra-t-elle s’entretenir avec le « conspirateur » qui la fait tourner ! Sinon, faute de temps, une visite à « Wikipedia » fera amplement l’affaire.
Hypothèses interchangeables
Alors que, depuis les années 60, les « empoisonnistes » sont restés stoïquement accrochés à leur thèse, le gardien du Temple napoléonien n’a pas cessé, lui, d’émettre des hypothèses, interchangeables, et passablement ridicules.
Nous l’avons connu ainsi se faire successivement, entre autres, le champion de l’officiel cancer héréditaire (je rappelle que les cancérologues les plus éminents, comme le professeur Lucien Israel, dénient à la maladie ce caractère héréditaire), puis mettre sur le compte du papier peint, de la colle et autres émanations du poêle de Longwood, les traces d’arsenic relevées par les toxicologues dans les cheveux de l’Empereur, qui, étrangement, fut la seule victime de ces agents exterminateurs ! On l’a même entendu, à l’occasion d’une exposition qui s’est tenue à São Paulo, délivrer un diagnostic particulièrement hardi et novateur : « Napoléon n’est pas mort empoisonné. Il était tuberculeux [sic], il avait un ulcère et surtout, il s’ennuyait. Il est mort d’ennui et de chagrin. »
Vous avez dit « loufoque » ?
À cet endroit, je ne résiste pas au plaisir de copier-coller un extrait de la 4ème page de couverture du chef d’œuvre ailleurs mentionné,« La Mort de Napoléon, Mythes, Légendes et Mystères » : « Face aux approximations ou aux délires sensationnalistes, Thierry Lentz et Jacques Macé rétablissent avec une saine tonicité et toute la rigueur de l’historien, la vérité, rien que la vérité ! »
Un instant, j’ai cru lire « saine toxicité » ! Baratin pompeux pour une séance de bourrage de crâne à 10,95 €. De toute façon, on se demande bien pourquoi ce malheureux se donne autant de mal pour combattre cette thèse empoisonniste, puisqu’il (je cite) se « moque de savoir si Napoléon a été empoisonné ou pas », car il s’agit d’un phénomène « secondaire » !
Il ose !
Malhonnêteté, mensonge, diffamation, manigances, absence totale d’éthique… Efficace, sans doute, mais du sale « boulot ». Au vu de ce qui précède, je pense que l’on peut, sans hésitation, parler d’un bilan accablant, honteux, pour la Fondation. Je n’écris même pas « Napoléon ». Passé le 5 mai, vous allez pouvoir, messieurs, mettre au ralenti vos PME d’écriture, et prendre un repos que vous aurez bien mérité. Ne vous endormez cependant pas sur vos lauriers, et n’oubliez pas de préparer la relève.
Rendez-vous donc en 2121